La Mort Approche

lundi 28 janvier 2008

Séance photo entre Karl et moi dans la zone industrielle abandonée, images d'apocalypse, ou de jeux ^^... j'ai adorée!

Merci pour ce week end, le meilleurs entre tous depuis longtemps! Vivement le prochain!


I remember and I would never forget

mercredi 16 janvier 2008

Ce que vous pouvez me manquer...

Aleck si loin de nous,
Millou dans ton nouveau lycée,
Leslie en term'...
Mon Prince heureusement que j'te voir toujours autant ^^

Mon arrivée à Bellevue à été mémorable, j'ai rencontrée des personnes géniales, mais cette année y'a quelque chose en moins, je retrouve soulagée ma solitude mais certaines choses me manque.
J'aimerai revivre des moments comme ceux là...













The WaSp

Vieille séance photo (toute seule) où je m'étais bien amusée ^_^'.

A la place d'un corbeau...

... un merle!
Bah c'est mieu que rien!

PS: j'aime pas beaucoup cette photo...


Image d'Irlande

Ce château fût abandonné après la mort de la fille des châtelains dans un incendie. Ça peu paraître étrange mais j'ai su dès que je l'ai vu qu'il avait connu un drame...
J'ai eu un ressenti très fort, beaucoup plus qu'à Clanmacnoise, qui n'est qu'un cimetière touristique sans âme (bien que les croix celte vaille le détour).


Jeunesse lève toi, Damien Saez

Rien à ajouter... j'écoute en boucle...



Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme
Jeunesse lève toi

Contre la vie qui va qui vient
Pour qui s’éteint
Contre l’amour qu’on prend qu’on tient
Mais qui tient pas,
Contre la trace qui s’efface
Au derrière de soi,
Jeunesse lève-toi.
Moi contre ton épaule
Je repars à la lutte
Contre les gravités qui nous mènent à la chute
Pour faire du bruit encore
A réveiller les morts,
Pour redonner éclat
A l’émeraude en toi ;

Pour rendre au crépuscule
La beauté des aurores
Dis moi qu’on brûle encore
Dis-moi que brûle encore cet espoir que tu tiens
Parce que tu n’en sais rien de la fougue et du feu
Que je vois dans tes yeux…
Jeunesse lève toi !
Quand tu vois comme on pleure
A chaque rue sa peine
Comment on nous écœure
Perfusion dans la veine
A l’ombre du faisceau
Mon vieux tu m’auras plus !
Ami dis quand viendra la crue

Contre courant toujours sont les contre-cultures,
Au gré des émissions leurs gueules de vide-ordures…
Puisque c’est en sonné la mort du politique,
L’heure est aux rêves
Aux Utopies !
Pour faire nos ADN
Un peu plus équitables,
Pour faire de la poussière
Un peu plus que du sable
Dans ce triste pays
Tu sais un jour ou l’autre
Faudra tuer le père
Faire entendre ta voix
Jeunesse lève toi !

Au clair de lune indien
Toujours surfer la vague
A l’âme
Au creux des reins
Faut aiguiser la lame
Puisqu’ici il n’y a qu’au combat qu’on est libre
De ton triste sommeil, je t’en prise libère toi !
Puisqu’ici il faut faire des bilans et du chiffre
Sont nos amours toujours au bord du précipice,
N’entends-tu pas ce soir chanter le chant des morts
Ne vois tu pas le ciel à la portée des doigts ?
Jeunesse lève toi !

Comme un éclat de rire
Vient consoler tristesse,
Comme un souffle avenir
Vient raviver les braises
Comme un parfum de souffre
Qui fait naître la flamme
Quand plongé dans le gouffre on sait plus où est l’âme
Jeunesse lève toi !
Contre la vie qui va qui vient
Puis qui nous perd,
Contre l’amour qu’on prend qu’on tient
Puis qu’on enterre
Contre la trace qui s’efface
Au derrière de soi…
JEUNESSE LÈVE-TOI !